Deux questions guident les réflexions contenues dans ce livre : les organismes régionaux (Conseil de l'Europe, UE, CEEA, CICA, CEI...), dont l'existence est prévue au Chapitre VIII de la Charte de l'ONU, sont-ils dans un rapport de complémentarité ou de concurrence ? Constituent-ils un atout ou une faiblesse pour l'efficacité du droit international et le respect de la souveraineté des États ?
Elles ouvrent trois axes de réflexion : l'impact du régionalisme sur les États ; la capacité des États à conserver une identité propre ; la place du droit international (public et privé) dans ce contexte de régionalisation.
L'originalité de ces réflexions tient aux regards croisés franco-kazakhs choisis pour les traiter. Cette approche, surprenante s'agissant de la comparaison avec un pays peu connu de la doctrine juridique française, fait sens du fait du rapprochement croissant Europe-Asie - illustré par les visites des chefs d'État français et kazakh, à Astana (2014) et à Paris (2015).
Il n'est plus temps de se demander " Comment peut-on être Persan ? ", comme à l'époque de Montesquieu, mais de se connaître mieux par l'analyse comparée. Les Universités du Havre et al-Farabi (Almaty) sont engagées sur ce chemin depuis de nombreuses années. Elles ont noué des liens très forts, concrétisés par la création d'un Centre européen du Droit au sein de l'Université al-Farabi .
Ce partenariat permet au lecteur de découvrir que les deux pays sont confrontés à des problématiques communes et que leur système juridique tend à se rapprocher, du fait du choix des autorités kazakhes de s'inspirer du droit français ou européen pour faire face aux défis qui s'imposent à lui.
Elles ouvrent trois axes de réflexion : l'impact du régionalisme sur les États ; la capacité des États à conserver une identité propre ; la place du droit international (public et privé) dans ce contexte de régionalisation.
L'originalité de ces réflexions tient aux regards croisés franco-kazakhs choisis pour les traiter. Cette approche, surprenante s'agissant de la comparaison avec un pays peu connu de la doctrine juridique française, fait sens du fait du rapprochement croissant Europe-Asie - illustré par les visites des chefs d'État français et kazakh, à Astana (2014) et à Paris (2015).
Il n'est plus temps de se demander " Comment peut-on être Persan ? ", comme à l'époque de Montesquieu, mais de se connaître mieux par l'analyse comparée. Les Universités du Havre et al-Farabi (Almaty) sont engagées sur ce chemin depuis de nombreuses années. Elles ont noué des liens très forts, concrétisés par la création d'un Centre européen du Droit au sein de l'Université al-Farabi .
Ce partenariat permet au lecteur de découvrir que les deux pays sont confrontés à des problématiques communes et que leur système juridique tend à se rapprocher, du fait du choix des autorités kazakhes de s'inspirer du droit français ou européen pour faire face aux défis qui s'imposent à lui.