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L'internationalisation est généralement un phénomène intense et dynamique qui nécessite d'énormes ressources pour se déclencher, ce qui est encore plus évident pour les nouvelles entreprises internationales en raison de ce que l'on appelle la responsabilité de la nouveauté et la responsabilité de l'extranéité. Un examen systématique de la littérature a révélé que le principal mécanisme par lequel les INV tentent de faire face au manque de ressources est l'utilisation de réseaux relationnels.Cette étude exploratoire vise, d'une part, à contribuer à la littérature sur la théorie des réseaux dans…mehr

Produktbeschreibung
L'internationalisation est généralement un phénomène intense et dynamique qui nécessite d'énormes ressources pour se déclencher, ce qui est encore plus évident pour les nouvelles entreprises internationales en raison de ce que l'on appelle la responsabilité de la nouveauté et la responsabilité de l'extranéité. Un examen systématique de la littérature a révélé que le principal mécanisme par lequel les INV tentent de faire face au manque de ressources est l'utilisation de réseaux relationnels.Cette étude exploratoire vise, d'une part, à contribuer à la littérature sur la théorie des réseaux dans l'internationalisation, en se concentrant sur l'une des catégories possibles de réseaux - les réseaux sociaux et commerciaux - en interprétant et en examinant le processus d'internationalisation en deux phases (exploration et exploitation), du point de vue des entrepreneurs des International New Ventures ; d'autre part, à combler une lacune dans la littérature concernant la rareté des études sur le financement européen et le manque d'études sur ces instruments de financement (ou de cofinancement) en tant que ressources pour l'internationalisation.Les résultats montrent que les INV utilisent les réseaux personnels pendant la phase d'exploration, les réseaux d'affaires pendant l'exploitation et le financement européen dans les deux phases de l'internationalisation.
Autorenporträt
Barbara Kulaga, titulaire d'un doctorat en gestion et en droit, est actuellement chercheuse postdoctorale au département de gestion de l'Université polytechnique des Marches. Elle s'intéresse à l'internationalisation et participe à plusieurs projets financés par l'Union européenne, tels que les projets Erasmus+ et COSME, dans le domaine de la formation à la vente et de l'économie circulaire.