"Rappelez-vous que les malades sont la pupille et le coeur de Dieu et que ce qui est fait à ces pauvres est fait à Dieu" (Camille de Lellis, Fondateur des Serviteurs des Malades : 1550-1614).« Il y a là la vraie guérison, du moment que notre façon d'être en relation avec les autres, en nous guérissant réellement au lieu de nous rendre malade, est une fraternité mystique, contemplative, qui sait regarder la grandeur sacrée du prochain, découvrir Dieu en chaque être humain, qui sait supporter les désagréments du vivre ensemble en s'accrochant à l'amour de Dieu, qui sait ouvrir le coeur à l'amour divin pour chercher le bonheur des autres comme le fait leur Père qui est bon » (Evangelii gaudium, n.92).