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La presse électronique, au Maroc, vit au rythme d'une évolution assez particulière, à l'instar de ce qui se passe sous d'autres cieux, néanmoins, avec quelques particularités. Dans ce contexte, le monde de la presse se trouve diamétralement transformé en menaçant le mode de vie professionnelle des journalistes. Evolution qui a poussé des entreprises de presse à se doter, parallèlement aux journaux papier qu'ils éditent, d'une version digitale. Ce qui a des effets directs sur les journalistes qui se sont retrouvés dans des rédactions avec deux têtes : une rédaction avec pour objectif de remplir…mehr

Produktbeschreibung
La presse électronique, au Maroc, vit au rythme d'une évolution assez particulière, à l'instar de ce qui se passe sous d'autres cieux, néanmoins, avec quelques particularités. Dans ce contexte, le monde de la presse se trouve diamétralement transformé en menaçant le mode de vie professionnelle des journalistes. Evolution qui a poussé des entreprises de presse à se doter, parallèlement aux journaux papier qu'ils éditent, d'une version digitale. Ce qui a des effets directs sur les journalistes qui se sont retrouvés dans des rédactions avec deux têtes : une rédaction avec pour objectif de remplir le journal papier et une autre pour remplir, de manière techniquement différente, le journal électronique. Ce travail essaie ainsi de répondre à certaines questions pour savoir à quel point la traditionnelle presse écrite se trouve-t-elle menacée ? Mais, surtout, de savoir à quel point ces changements ont-ils un effet sur les traditions de travail des journalistes et leur situation professionnelle ? Est-ce une mutation qui leur est favorable ? Cela engendre-t-il une nouvelle organisation de travail ? Est-ce que les heures de travail des journalistes se trouvent-elles multipliées ?...
Autorenporträt
Ayant une licence en droit privé et un diplôme en journalisme, il a intégré le monde des médias depuis la fin des années 90. En 2014 il a décidé de revenir au campus en optant pour une nouvelle licence en Médias et Journalisme, puis, en 2017, pour un Master en Communication Politique.