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La question essentielle à laquelle nous tenterons de répondre à travers ce texte se formule ainsi: Le travail informel par son ampleur croissante (nombre de travailleurs) et son extension rapide (au sein de plus en plus de couches sociales) ne signifierait-il pas de profondes mutations dans les rapports au travail salarié officiellement réglementé? De ce point de vue le travail informel vient rappeler, à travers ses dimensions socio-anthropologiques, que l'Etat ne peut prétendre exercer un quelconque monopole sur l'organisation sociale. La reproduction élargie des activités informelles…mehr

Produktbeschreibung
La question essentielle à laquelle nous tenterons de répondre à travers ce texte se formule ainsi: Le travail informel par son ampleur croissante (nombre de travailleurs) et son extension rapide (au sein de plus en plus de couches sociales) ne signifierait-il pas de profondes mutations dans les rapports au travail salarié officiellement réglementé? De ce point de vue le travail informel vient rappeler, à travers ses dimensions socio-anthropologiques, que l'Etat ne peut prétendre exercer un quelconque monopole sur l'organisation sociale. La reproduction élargie des activités informelles signifie que l'intervention massive de l'Etat affronte l'opposition de la société sur le terrain même que celui-ci a choisi: l'économie structuré autour de l'industrialisation et le travail salarié officiellement réglementé. Cette approche s'insère dans une problématique de recherche qui se fixe de saisir le sens de ce que nous pensons devoir identifier comme réalités sociales en émergence en Algérie ensuite nous tenterons de spécifier le concept de proximité et de coopétition en relation avec le secteur informel et en se basant sur l'entrepreneuriat et à la création de micro entreprises.
Autorenporträt
Radi Noureddine ist ein Lehrer für Wirtschaft und Wirtschaftsanthropologie. Ich begann meine Karriere in der beruflichen Bildung als Lehrer für allgemeine Wirtschaft und Statistik am CFA in Tlemcen, Algerien, von 1992 bis 2002. Danach arbeitete ich als Dozent an der Universität von Sidi Bel Abbés, Fakultät für Wirtschaftswissenschaften.