De tous temps les artistes ont cherché à transmettre leurs réflexions théoriques et leurs savoir-faire. Les traités en sont la forme la plus aboutie, certainement la plus durable. Si les grands ouvrages de Vitruve, d'Alberti ou de Serlio jalonnent l'histoire des arts, les travaux de moindre portée, manuels pratiques, livres de recettes composent une littérature souvent négligée.
Les historiens du vitrail ont entrepris avec succès l'étude de ces ouvrages. En 2006, le XXIIIe colloque international du Corpus Vitrearum a pour la première fois permis de confronter les connaissances, les méthodes et les conclusions des chercheurs.
La prise en compte de l'ensemble des ouvrages que l'on peut désigner par le mot « traité » a permis à elle seule de nombreuses découvertes et en a fait des sources désormais incontournables. Elles se prêtent à des analyses aussi diverses que stimulantes, commentaires historiques et critiques, analyses expérimentales des données techniques etc. Une voie est ainsi ouverte vers une connaissance plus complète du vitrail et vers une évaluation nouvelle de sa place parmi les autres arts.
Les historiens du vitrail ont entrepris avec succès l'étude de ces ouvrages. En 2006, le XXIIIe colloque international du Corpus Vitrearum a pour la première fois permis de confronter les connaissances, les méthodes et les conclusions des chercheurs.
La prise en compte de l'ensemble des ouvrages que l'on peut désigner par le mot « traité » a permis à elle seule de nombreuses découvertes et en a fait des sources désormais incontournables. Elles se prêtent à des analyses aussi diverses que stimulantes, commentaires historiques et critiques, analyses expérimentales des données techniques etc. Une voie est ainsi ouverte vers une connaissance plus complète du vitrail et vers une évaluation nouvelle de sa place parmi les autres arts.