Cette monographie "offre un portrait saisissant des Negro-Africains et de l'Afrique noire... Partant de cela, la peinture de l'Afrique post coloniale constitue une mise en relief du faix qui pèse sur le continent noir, les consciences africaines et la femme africaine. La crise à multiple visage ( aux plans social, physique et mental) qui étouffe le continent est étalée dans toute sa laideur... Dans l'optique d'une déconstruction-reconstruction du continent-mère, la femme beti trempe sa plume dans le fiel pour dégrader et disqualifier aussi bien le mâle que la femelle nègre. Dans le dessein de faire quitter à cette dernière sa position périphérique pour la faire accéder à celle de la centralité, elle propose entre autres solutions la distanciation, la sororité, la gémellité et la mythographie... Tel un polémarque averti, la femme beti fait de la corporeite son arme de destruction massive."