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En République Démocratique du Congo, la culture de banane est placée troisième après celles de manihot esculenta et zea mays. Depuis des années, sa culture est sujette à des attaques de la cercosporiose qui a, sans doute, entraîné l'usage des pesticides. Une étude a été entreprise au laboratoire de la clinique des plantes en vue d'évaluer l'efficacité antifongique des plantes sur la croissance de mycosphaerela fijiensis, agent causal de la maladie de raies noires. Les résultats de cette étude ont révélé que la croissance radiale de mycosphaerella fijiensis est affectée par les extraits des…mehr

Produktbeschreibung
En République Démocratique du Congo, la culture de banane est placée troisième après celles de manihot esculenta et zea mays. Depuis des années, sa culture est sujette à des attaques de la cercosporiose qui a, sans doute, entraîné l'usage des pesticides. Une étude a été entreprise au laboratoire de la clinique des plantes en vue d'évaluer l'efficacité antifongique des plantes sur la croissance de mycosphaerela fijiensis, agent causal de la maladie de raies noires. Les résultats de cette étude ont révélé que la croissance radiale de mycosphaerella fijiensis est affectée par les extraits des plantes incorporés. Sa croissance varie de 0,1 à 4 cm de diamètre aux quantités incorporées de 0,5 et 1g pour toutes les trois espèces des plantes, alors qu'a 2g, la croissance de l'agent s'est arrêté à 0,4cm pour Azadirachta indica, 2cm pour Ricinus communis et une croissance nulle pour Zingiber officinale.
Autorenporträt
Musenge Nday Laurianne, engenheiro agrónomo, estuda Ciências Agronómicas na Universidade de Kinshasa e trabalha no Serviço Nacional de Motorização Agrícola/Ministério da Agricultura da República Democrática do Congo.