17,30 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 1-2 Wochen
payback
0 °P sammeln
  • Broschiertes Buch

Les peuples méditerranéens, qui vivaient de manière quasi permanente dans la crainte d'une invasion, redoutaient ces Celtoi, Galates et Galli qui avaient assiégé Rome et saccagé Delphes. Leur bravoure et leur valeur guerrière étaient si redoutables qu'Alexandre, Denys l'Ancien, tyran de Syracuse, Hannibal, Attale (Pergame), Cléopâtre elle-même, et finalement Rome les enrôlèrent volontiers comme mercenaires.Les Celtes pourtant n'ont pas écrit l'histoire de leurs conquêtes. Il faut la lire dans les Annales de ceux qui, sous prétexte de civiliser les Barbares, entreprenaient de les exterminer.…mehr

Produktbeschreibung
Les peuples méditerranéens, qui vivaient de manière quasi permanente dans la crainte d'une invasion, redoutaient ces Celtoi, Galates et Galli qui avaient assiégé Rome et saccagé Delphes. Leur bravoure et leur valeur guerrière étaient si redoutables qu'Alexandre, Denys l'Ancien, tyran de Syracuse, Hannibal, Attale (Pergame), Cléopâtre elle-même, et finalement Rome les enrôlèrent volontiers comme mercenaires.Les Celtes pourtant n'ont pas écrit l'histoire de leurs conquêtes. Il faut la lire dans les Annales de ceux qui, sous prétexte de civiliser les Barbares, entreprenaient de les exterminer. Nos manuels voudraient encore nous persuader des bienfaits de «la paix romaine» sans prendre en considération qu'elle n'a pas duré quatre siècles en Gaule, mais tout juste soixante-dix ans!Dans un style inimitable et un rythme enlevé, Henri d'Arbois de Jubainville, Professeur au Collège de France nous restitue dans cet écrit l'essentiel de ses leçons professées avec passion et érudition. Cet ouvrage constitue un regard original sur le monde Celte vu de l'extérieur de ses frontières
Autorenporträt
Marie-Henri d'Arbois de Jubainville, né à Nancy le 5 décembre 1827 et mort à Paris le 26 février 1910, est un historien, archiviste et celtologue français. Devenu archiviste paléographe, il est directeur des archives de l'Aube de 1852 jusqu'à sa retraite en 1880. En 1882, il devient le premier titulaire de la chaire de langue et littérature celtiques au Collège de France, où lui succèdera Joseph Loth.