Les choses empreintes de subjectivité sont les choses originellement liées à la personne humaine ou traditionnellement affectées à une famille. Intuitivement rattachées au régime de la personne, elles sont en réalité appréhendées en droit positif par le régime des biens. Au sein de ce régime, néanmoins, elles se singularisent par l'octroi à la personne à laquelle elles sont liées d'un droit moral de retrait du commerce où elles avaient pu être placées. La thèse s'attache à étudier leur appréhension par le régime des biens, ainsi que leur spécificité au sein de ce régime.