40,99 €
inkl. MwSt.
Versandkostenfrei*
Versandfertig in 6-10 Tagen
  • Broschiertes Buch

La prévalence contraceptive est restée faible (30,8 % en milieu urbain, contre 10,8 % en milieu rural en 2015) malgré les multiples efforts consentis par le gouvernement du Burkina Faso et ses partenaires au développement pour améliorer l'accessibilité de la contraception. Le constat actuel montre que le DIU reste la méthode contraceptive la moins utilisée parmi les méthodes modernes de contraception 2010 selon l'EDS. La présente étude qui porte sur les contraintes au recours du dispositif intra-utérin dans les sites couverts par l'ONG Marie Stopes Burkina Faso (MS BF) de la région du Centre a…mehr

Produktbeschreibung
La prévalence contraceptive est restée faible (30,8 % en milieu urbain, contre 10,8 % en milieu rural en 2015) malgré les multiples efforts consentis par le gouvernement du Burkina Faso et ses partenaires au développement pour améliorer l'accessibilité de la contraception. Le constat actuel montre que le DIU reste la méthode contraceptive la moins utilisée parmi les méthodes modernes de contraception 2010 selon l'EDS. La présente étude qui porte sur les contraintes au recours du dispositif intra-utérin dans les sites couverts par l'ONG Marie Stopes Burkina Faso (MS BF) de la région du Centre a pour objectif général d'analyser les facteurs sociaux qui constituent des contraintes à l'accès au DIU dans lesdits sites. Les résultats montrent que plusieurs contraintes sociales sont à l'origine du faible accès au DIU. Hormis la méfiance des populations sur la contraception moderne en général, l'utilisation du DIU reste confrontée entre autres, aux croyances religieuses et coutumières, aux idées reçues sur les effets secondaires de la méthode, à la perception des hommes et à la faible qualité des relations entre le personnel de santé et les utilisateurs de services de santé.
Autorenporträt
NAKOULMA René Jean Firmin est né le 19 octobre 1973 à Fada N'Gourma (Burkina Faso), totalise 24 années d¿expérience professionnelle. Il a travaillé au Ministère de la santé du Burkina Faso avant de rejoindre le monde des ONG depuis 2014. Il a fait des études en épidémiologie, en sciences sociales notamment à l'université Joseph Ki-ZERBO et au 2ie.