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Cet article examine l'acquisition et l'application de la technologie dans la conduite des élections au Nigeria. Il analyse en outre les défis et les problèmes découlant de cette innovation technologique, ainsi que les solutions possibles. L'étude a utilisé des sources primaires et secondaires pour obtenir des données auprès des personnes interrogées, à savoir les agents électoraux, les électeurs et les chefs de parti sélectionnés de manière aléatoire. Les données recueillies ont été analysées à l'aide de statistiques descriptives et inférentielles. Les résultats ont révélé que l'acquisition et…mehr

Produktbeschreibung
Cet article examine l'acquisition et l'application de la technologie dans la conduite des élections au Nigeria. Il analyse en outre les défis et les problèmes découlant de cette innovation technologique, ainsi que les solutions possibles. L'étude a utilisé des sources primaires et secondaires pour obtenir des données auprès des personnes interrogées, à savoir les agents électoraux, les électeurs et les chefs de parti sélectionnés de manière aléatoire. Les données recueillies ont été analysées à l'aide de statistiques descriptives et inférentielles. Les résultats ont révélé que l'acquisition et l'utilisation d'instruments technologiques peuvent renforcer la crédibilité des résultats électoraux et leur acceptation par la population. Par exemple, 96,3 % des personnes interrogées dans les États d'Oyo, d'Ekiti et d'Osun de l'INEC sont d'avis que la technologie moderne contribue à la crédibilité des résultats des élections. Le document conclut que la technologie est un outil majeur, capable d'aider la commission à réaliser sa vision et sa mission. Cependant, ces technologies ne sont pas sans poser de nombreuses difficultés dans le processus d'acquisition et de déploiement.
Autorenporträt
Il dottor Omoleke Muslim è nato a Ikire, nell'area di governo locale di Irewole, nello Stato di Osun, in Nigeria. Ha frequentato l'Ife City College tra il 1976 e il 1980. Ha conseguito una laurea in economia nel 1985, un MBA nel 1995, un master in gestione e contabilità, un dottorato di ricerca in ingegneria tecnologica nel 2010, un LLB nel 2002, un BL nel 2004 e un LLM in criminologia e penologia nel 2013. È direttore dell'INEC e mediatore diplomato.