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Au fil du temps, les quartiers d'Afrique du Sud ont manifesté leur opposition à la mise en place de programmes de logements subventionnés sur leur territoire. Cette opposition est due à l'impact négatif perçu de ces programmes de logement sur le voisinage. L'opposition s'est accrue depuis la mise en oeuvre du Code du logement de 2009. Ce code vise à intégrer les ménages à faibles revenus dans des zones plus riches, afin de leur offrir un meilleur accès aux opportunités économiques et sociales, qui leur étaient auparavant refusées car ils étaient placés en périphérie urbaine. Les opposants aux…mehr

Produktbeschreibung
Au fil du temps, les quartiers d'Afrique du Sud ont manifesté leur opposition à la mise en place de programmes de logements subventionnés sur leur territoire. Cette opposition est due à l'impact négatif perçu de ces programmes de logement sur le voisinage. L'opposition s'est accrue depuis la mise en oeuvre du Code du logement de 2009. Ce code vise à intégrer les ménages à faibles revenus dans des zones plus riches, afin de leur offrir un meilleur accès aux opportunités économiques et sociales, qui leur étaient auparavant refusées car ils étaient placés en périphérie urbaine. Les opposants aux développements de logements subventionnés ont néanmoins exprimé des inquiétudes quant à une éventuelle baisse de la valeur des propriétés. Ces préoccupations sont toutefois fondées sur des opinions plutôt que sur des preuves factuelles. Cet ouvrage propose donc une analyse de l'impact des logements subventionnés. L'étude fait appel à des méthodes quantitatives afin que les résultats soient objectifs et ne soient pas entravés par les peurs NIMBY. Les résultats donneront un aperçu des effets potentiels de différents programmes de logement sur les prix des propriétés dans les zones voisines.
Autorenporträt
MEcon mit Spezialisierung auf wirtschaftliche Entwicklung, erworben an der Universität Kapstadt in Südafrika. Angestellt beim Western Cape Department of Human Settlements als Analyst für Politik, Forschung und Datenbanken.