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Cette étude examine les effets de l'IFRS 3 "Regroupements d'entreprises" sur les pertes de valeur du goodwill déclarées par un échantillon de 52 entreprises, tirées des plus grandes entreprises britanniques cotées sur le marché principal du London Stock Exchange au cours de la période 2006-2008. L'échantillon a été identifié en fonction de certains critères. La majorité des entreprises de l'échantillon ont atteint le seuil de goodwill significatif (supérieur ou égal à 10 % de l'actif total), ce qui indique que le goodwill est un actif représentant une composante importante du portefeuille…mehr

Produktbeschreibung
Cette étude examine les effets de l'IFRS 3 "Regroupements d'entreprises" sur les pertes de valeur du goodwill déclarées par un échantillon de 52 entreprises, tirées des plus grandes entreprises britanniques cotées sur le marché principal du London Stock Exchange au cours de la période 2006-2008. L'échantillon a été identifié en fonction de certains critères. La majorité des entreprises de l'échantillon ont atteint le seuil de goodwill significatif (supérieur ou égal à 10 % de l'actif total), ce qui indique que le goodwill est un actif représentant une composante importante du portefeuille d'actifs déclaré pour l'échantillon de recherche. L'étude cherche à savoir si le traitement comptable actuel du goodwill a contribué à une plus grande uniformité dans la comptabilisation du goodwill et de sa dépréciation, et a donc permis de faire des comparaisons entre les industries et dans le temps. L'étude soutient la décision des normalisateurs comptables internationaux de remettre en question l'utilité du traitement comptable actuel du goodwill dans le cadre des IFRS.
Autorenporträt
Ahmad Alshehabi jest asystentem wyk¿adowcy rachunkowöci mi¿dzynarodowej na Uniwersytecie w Damaszku, Syria. Posiada tytu¿ magistra rachunkowöci mi¿dzynarodowej i finansów na Uniwersytecie Johna Mooresa w Liverpoolu w Anglii. Pan Alshehabi jest obecnie doktorantem w Birmingham Business School, Uniwersytet Birmingham, Anglia.