L'étude s'est penchée sur la philosophie du féminisme et sur la manière dont elle a pu contribuer à améliorer la culture dans les environnements de logistique et de transport et à permettre aux femmes de réaliser leur plein potentiel d'une manière digne et éthique. L'objectif était d'explorer comment les cultures dans les environnements de logistique et de transport étaient affectées par le concept de la philosophie du féminisme. L'étude a utilisé une approche de méthode mixte qui a adopté les philosophies du positivisme et de l'interprétativisme. L'étude a révélé qu'au Zimbabwe, les propriétaires d'entreprises ont apporté leur culture d'origine, influencée par la religion, sur les lieux de travail, créant ainsi un scénario où il n'y a pas de valeurs et d'éthique uniformes dans les organisations. Les femmes travaillant dans le secteur de la logistique et du transport ont dû faire face à un dilemme : maintenir leur propre intégrité pour rester la "femme idéale" et assimiler des valeurs étrangères au lieu de travail qui entraient en conflit avec leur propre estime. Une fois au sommet de la hiérarchie, la femme joue un rôle plus dur en raison de tous les abus qu'elle a subis. L'étude recommande l'adoption de la philosophie du féminisme pour conduire le changement de culture dans le secteur de la logistique et du transport et encourage la poursuite des recherches sur la manière dont la culture affecte la progression des femmes.
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