La prise en charge des fractures balistique a été le plus souvent selon les principes de la chirurgie de guerre par le fixateur externe. Le grand banditisme étant très grandissant, on rencontre de plus en plus des fractures balistiques en pratique civile, causés par des armes non conventionnelles. Nous avons mené une étude transversale entre 2015 et 2018 au Centre Hospitalier Universitaire Sylvanus Olympio de Lomé au Togo sur la prise en charge des fractures balistiques par ostéosynthèse interne. Cette étude bien qu'étant sur un échantillon pas assez grand, mais suffisant pour tirer des conclusions après comparaison à d'autres études qui ont été menés ailleurs.