Au coeur de la terre, dans les profondeurs sombres, Se cachent les visages oubliés de la mine, Ceux qui ont payé de leurs vies, de leur sang, Les minerais maudits, fruits de leur supplice.Leur visage, marqué par les rides de la peine, Porte les stigmates d'une vie de travail insensé, Des rides profondes, creusées par le poids des tourments, Des yeux fatigués, qui ont vu tant de malheurs.Ces hommes, ces femmes, oubliés du monde, Ont sacrifié leur santé au nom d'un rêve illusoire, Celui d'une vie meilleure, d'un avenir radieux, Mais l'industrie avide les a condamnés à l'enfer.Leur corps brisé, leurs membres endoloris,Chaque mouvement est une douleur, une agonie, Mais ils continuent de travailler, sans relâche, Pour nourrir leur famille, pour survivre dans cette tragédie. Leurs visages fatigués, couverts de sueur et de poussière,Portent les marques de l'oppression, de l'exploitation,Ils sont les victimes silencieuses de cette cupidité,Qui se nourrit de leur souffrance, sans aucune compassion.Les enfants de la mine, eux aussi oubliés,Leurs visages innocents reflètent la tristesse,Ils grandissent dans un monde de misère et d'injustice,Leurs rêves brisés, étouffés par la réalité cruelle.