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La presse d'opinion est soumise à un dilemme : soit adopter les solutions économiques du modèle médiatique « dominant » au risque d'affaiblir son identité, soit refuser ces réponses économiques en mettant ainsi en danger la pérennité de l'entreprise. Peut-on alors dire qu'il y a un modèle économique alternatif, qui correspondrait au modèle éditorial alternatif de la presse d'opinion ? A travers les études de cas de L'Humanité et du Satiricon, journal satirique toulousain, cet ouvrage nous permet d'étudier diverses initiatives mises en place par ces deux journaux afin de répondre à cette…mehr

Produktbeschreibung
La presse d'opinion est soumise à un dilemme : soit adopter les solutions économiques du modèle médiatique « dominant » au risque d'affaiblir son identité, soit refuser ces réponses économiques en mettant ainsi en danger la pérennité de l'entreprise. Peut-on alors dire qu'il y a un modèle économique alternatif, qui correspondrait au modèle éditorial alternatif de la presse d'opinion ? A travers les études de cas de L'Humanité et du Satiricon, journal satirique toulousain, cet ouvrage nous permet d'étudier diverses initiatives mises en place par ces deux journaux afin de répondre à cette problématique. Cet ouvrage examine premièrement les logiques, essentiellement économiques et éditoriales de la presse « dominante ». Une deuxième partie nous permet de souligner que L'Humanité et le Satiricon disposent d'un modèle éditorial alternatif. Ce modèle éditorial les pousse-t-il à adopter des stratégies économiques singulières ? C'est à cette question que la troisième partie tente de répondre, à travers l'analyse des procédés économiques mis en place par ces deux journaux, face notamment aux nouveaux défis qui les attendent.
Autorenporträt
Etudiant à l'Institut d'études politiques de Toulouse, pour lequel j'ai réalisé cet ouvrage. J'ai ensuite poursuivi mes études au Centre universitaire d'enseignement du journalisme à Strasbourg. Puis, j'ai intégré l'équipe de la Gazette du Comminges, un hebdomadaire du groupe la Dépêche du Midi. J'en suis aujourd'hui le chef d'édition.