Cette présente étude s intéresse aux représentations de la mort dans le roman africain francophone, notamment aux symboles, aux espaces, aux personnages ou encore aux formes de la mort.
Contrairement à d autres travaux, cet ouvrage met en évidence non seulement l influence de la culture négro-africaine et occidentale, mais aussi celle de la culture islamique.
De meme, il s agit d une analyse synchronique et diachronique qui se concentre sur le caractère hybride des représentations de la mort, et qui prend aussi en considération leur évolution dans le roman africain francophone.
Dans ce contexte, ce travail propose de répondre à plusieurs questions. D une part, comment les romanciers africains réutilisent-ils les représentations de la mort négro-africaines, occidentales et/ou islamiques ? Comment les réactualisent-ils ? Les romancières africaines développent-elles des représentations de la mort spécifiques par rapport à leurs collègues masculins ? D autre part, existe-t-il diverses facons de représenter la mort selon les générations auxquelles appartiennent les auteurs africains ? Y a-t-il une évolution depuis la première génération de prosateurs ou faut-il, au contraire, reconnaitre des similitudes chez l ensemble des écrivains africains ?
Contrairement à d autres travaux, cet ouvrage met en évidence non seulement l influence de la culture négro-africaine et occidentale, mais aussi celle de la culture islamique.
De meme, il s agit d une analyse synchronique et diachronique qui se concentre sur le caractère hybride des représentations de la mort, et qui prend aussi en considération leur évolution dans le roman africain francophone.
Dans ce contexte, ce travail propose de répondre à plusieurs questions. D une part, comment les romanciers africains réutilisent-ils les représentations de la mort négro-africaines, occidentales et/ou islamiques ? Comment les réactualisent-ils ? Les romancières africaines développent-elles des représentations de la mort spécifiques par rapport à leurs collègues masculins ? D autre part, existe-t-il diverses facons de représenter la mort selon les générations auxquelles appartiennent les auteurs africains ? Y a-t-il une évolution depuis la première génération de prosateurs ou faut-il, au contraire, reconnaitre des similitudes chez l ensemble des écrivains africains ?