La gestion durable des aires protégées dans un Etat fait récours aux évaluations de la biodiversité. Mais évaluer la biodiversité dans une aire protégée nécessite la manipulation d'une grande quantité de données géographiques et alphanumériques pour le suivi quotidien des activités. Pour cause : la prise de décision concernant une simple localisation géographique d'une espèce demande la manipulation et la recherche à travers plusieurs types de documents ; ce qui pourrait constituer une perte de temps et des difficultés énormes de gestion. En plus, le patrimoine naturel d'une aire protégée compte de milliers des données qui doivent être mises en jours pour faciliter une bonne planification. Les outils utilisés, dans la plupart de temps, pour leur gestion n'arrivent plus à répondre aux attentes des décideurs. D'où la mise en place d'un SIG devient une nécessité fondamentale pour la gestion des AP nonobstant les coûts que celà pourra engendré . La mise en place d'un SIG dans une AP permet de disposer de données fiables recueillies à partir d'un système de gestion de base de données mieux adapté faciliter les activités de suivi sur le terrain.