Marie approche les 90 ans. Elle prend plaisir à raconter, de sa voix douce et chantante d'un subtile mélange pied-noir et marseillais, ce qui lui reste en mémoire et en impressions de la première partie de son existence en Algérie française.
Le récit, d'intérêt réel, de cette "petite mémé toute mignonne" - comme ses petites-filles la perçoivent - nerveuse et sensible, charmante et si gentille, a été écrit par sa fille cadette. Il est toutefois présenté à la première personne, facile et agréable à lire car il a conservé le ton d'expression vivant, chaleureux et parfois comique de Marie.
Jean, son mari, n'intervient qu'à partir du milieu de l'histoire, aussi de façon amusante, souvent émouvante. Sa voix forte, aux r roulés par l'accent espagnol, est visualisée par une typographie en caractères gras. Sa participation est intégrée par des dialogues de plus en plus longs, qui apparaissent progressivement au cours du récit et nous rendent sensible le genre de relation qui unit cevieux couple attachant.
Le récit, d'intérêt réel, de cette "petite mémé toute mignonne" - comme ses petites-filles la perçoivent - nerveuse et sensible, charmante et si gentille, a été écrit par sa fille cadette. Il est toutefois présenté à la première personne, facile et agréable à lire car il a conservé le ton d'expression vivant, chaleureux et parfois comique de Marie.
Jean, son mari, n'intervient qu'à partir du milieu de l'histoire, aussi de façon amusante, souvent émouvante. Sa voix forte, aux r roulés par l'accent espagnol, est visualisée par une typographie en caractères gras. Sa participation est intégrée par des dialogues de plus en plus longs, qui apparaissent progressivement au cours du récit et nous rendent sensible le genre de relation qui unit cevieux couple attachant.