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Cette étude nous a emmené à rechercher, grâce aux structures bancaires et de transfert d'argent internationales, les fonds transférés officiellement par les populations de quelques États de la CEDEAO exerçant en Côte d'Ivoire et ailleurs vers leurs pays d'origines de 1980 à 2005 et la place qu'a occupée la Côte d'Ivoire dans ces transferts de fonds vers l'Afrique de l'ouest durant cette même période. Grâce aux données statistiques de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International, confrontées à d'autres informations provenant des documents et des enquêtes, nous avons pu réaliser ces…mehr

Produktbeschreibung
Cette étude nous a emmené à rechercher, grâce aux structures bancaires et de transfert d'argent internationales, les fonds transférés officiellement par les populations de quelques États de la CEDEAO exerçant en Côte d'Ivoire et ailleurs vers leurs pays d'origines de 1980 à 2005 et la place qu'a occupée la Côte d'Ivoire dans ces transferts de fonds vers l'Afrique de l'ouest durant cette même période. Grâce aux données statistiques de la Banque Mondiale et du Fonds Monétaire International, confrontées à d'autres informations provenant des documents et des enquêtes, nous avons pu réaliser ces principaux résultats. D'abord, le Burkina-Faso a été la première destination des fonds transférés en provenance de la Côte d'Ivoire grâce à la forte communauté burkinabé vivant en terre ivoirienne. En plus, premier pays le plus peuplé d'Afrique, le Nigéria a été de loin le premier État de la CEDEAO à engranger plus de fonds émanent des pays du monde entier avec plus de 5 536,6 millions de dollars US grâce à sa diaspora pléthorique à travers le monde. Par contre, contrairement au Nigéria et au Burkina-Faso, le Ghana et le Niger ont été au bas de l'échelle.
Autorenporträt
André Yao LOUKOU est Doctorant en histoire Économique et Sociale à l'Université Félix Houphouët BOIGNY Abidjan.