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"L'Homme-fourmi" est un roman de Han Ryner, un philosophe, essayiste et romancier français du début du XXe siècle, publié en 1901. Ce roman philosophique explore les idées de Ryner sur la nature humaine, la société et l'individualisme. L'histoire tourne autour d'un personnage principal qui développe des capacités semblables à celles des fourmis, découvrant ainsi un monde différent et une nouvelle façon d'appréhender la vie et la société. À travers cette métamorphose, l'auteur aborde des questions sur la liberté individuelle, les structures sociales, le conformisme et l'aliénation. Han Ryner,…mehr

Produktbeschreibung
"L'Homme-fourmi" est un roman de Han Ryner, un philosophe, essayiste et romancier français du début du XXe siècle, publié en 1901. Ce roman philosophique explore les idées de Ryner sur la nature humaine, la société et l'individualisme. L'histoire tourne autour d'un personnage principal qui développe des capacités semblables à celles des fourmis, découvrant ainsi un monde différent et une nouvelle façon d'appréhender la vie et la société. À travers cette métamorphose, l'auteur aborde des questions sur la liberté individuelle, les structures sociales, le conformisme et l'aliénation. Han Ryner, connu pour ses positions philosophiques et sociales non conventionnelles, utilise souvent ses ¿uvres pour critiquer la société de son époque et explorer des idées radicales sur la liberté individuelle et la condition humaine. "L'Homme-fourmi" reflète ces thèmes et ces préoccupations tout en offrant une perspective unique sur la nature humaine.
Autorenporträt
Jacques Élie Henri Ambroise Ner, dit Han Ryner, né à Nemours (Algérie) le 7 décembre 1861 et mort à Paris le 6 janvier 1938, est un philosophe et journaliste français, anarchiste individualiste, pacifiste, anticlérical. Refusant toute doctrine imposée et déniant la séparation, qüil estime artificielle, en nations et en classes, il se montre toujours très sceptique quant à l¿efficacité des révolutions violentes, leur préférant les méthodes de non-coopération. Mais il considère qüaucune société réellement humaine ne pourrait advenir sans une révolution intérieure opérée par chaque individu en lui-même.