L'homéostasie nutritionnelle implique un certain nombre de populations neuronales et molécules; le NPY/AGRP, POMC/CART, ghréline...Leur régulation et leur rôle précis ne sont pas toujours parfaitement connus, notamment chez l'homme. Les neurones qui expriment ces neurotransmetteurs reçoivent des informations de la périphérie de nature hormonale (leptine, ghréline, insuline). Ces populations neuronales interagissent entre elles de manière synergique permettant l'adaptation aussi bien sur le court terme que sur le long terme.