Il est révoltant de constater qu'en Afrique, tout le monde ou presque (parce qu'il faut exclure les bourgoisies établies dépuis les années néfastes de la colonisation et celles nées il y'a quelques années de la ville collaboration d'un système politique fondamentalement vide et de la corruption à grande échelle qui mine toutes les sociétés Africaines) se sent mal à cause de la pauvreté grandissante, du chômage persistant, de l'insécurité et de bien d'autres vices sociopolitiques. Mais le plus surprenant dans cette histoire, c'est la rétissance, l'hésitation voir même le réfus catégorique de parler des questions politiques qu'affichent les massent abusées par le système. Il est beaucoup plus aisé de trouver une aiguille dans une botte de foin que de trouver dans tous les milieux sociaux confondus, une attention particulière aux questions politiques. Alors, c'est peut-être par le canal des techniques de l'information et de la communication ou par le moyen de l'écriture que, nous, ensemble de personnes pour qui ces questions, méritent d'être débattues, l'une des rares factions armées de l'espoir d'une Afrique libre et dévéloppée.