1903. C'est la belle Époque, celle de tous les espoirs. Les populations civiles veulent oublier le XIXe siècle, ses révolutions, ses vaines conquêtes et ses guerres. Mais les révolutionnaires, les terroristes internationaux sont là. À Paris, l'Okhrana, la police impériale russe a pignon sur rue et apporte sa collaboration à la Sûreté Générale pour les traquer. L'emprunt russe s'arrache et provoque des espoirs démesurés. Suite à l'affaire Dreyfus (1894), les militaires du service de renseignement de l'armée (Deuxième bureau de l'État-major) sont interdits de Contre-espionnage et de missions hors des frontières. Malgré cela, le commandant Albert Duroc maintient toujours ses anciens contacts. Navigant en eaux troubles avec Iaroslav Ivanov, un clandestin de l'Okhrana, ils ont fort à faire pour entraver et étouffer une action de déstabilisation.La tension montant entre la Russie et le Japon, un arrangement douteux entre deux ministères permet de faire partir le commandant Duroc en Extrême-Orient.En visite chez le correspondant chargé de sa couverture, il est fasciné par le portrait d'une jeune femme. Après un long voyage à travers la Russie, à bord du Transsibérien, il la rencontre enfin à Vladivostok. Le 8 février 1904, le Japon attaque l'escadre russe à Port-Arthur, sans déclaration de guerre. La guerre Russo-Japonaise commence. De difficile la mission devient de plus en plus périlleuse.Pour ne pas mourir à Port-Arthur, il ne suffit pas d'éviter les obus, japonais ou russes, la noyade ou les pirates chinois. Les forces de pouvoir sont rancunières et détestent les témoins.
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