Ce livre cherche à discuter de la relation entre l'UNESCO et la conception du Système national d'évaluation de l'enseignement supérieur (SINAES) en 2004, en partant du principe que les organisations internationales ont joué le rôle d'agents intellectuels dans la définition des politiques éducatives des États membres, en particulier des plus pauvres d'entre eux. L'étude est justifiée par la notoriété que l'évaluation de l'enseignement supérieur a acquise dans le cadre de la recherche dans le domaine de la politique éducative, étant donné la stratégie du gouvernement visant à améliorer la qualité de l'éducation par le biais du contrôle et de la régulation au moyen de l'évaluation systémique.