Dans son roman, La Makan LKi Fi Bayt Abi (2007), Assia Djebar revient sur son autobiographie et ses souvenirs qui sont liés à la mémoire de son peuple dans un style intéressant. Elle plonge dans l'âme de son héroïne afin de révéler ses véritables contenus cachés et les motifs de son comportement. Le langage qu'elle utilise sert d'outil de libération de la femme et de sa société. A travers sa littérature révolutionnaire, Assia Djebar vise à soulever des sujets importants concernant la question de "l'écriture et l'identité" et à dénoncer et déconstruire les piliers des discours qui établissent l'institution idéologique colonialiste et la question de la fossilisation dans le creuset des traditions. Bien qu'elle ait choisi le stylo pour être son arme qui reflète la douleur féministe sur le papier, ses écrits sont caractérisés par un sens féminin, et elle était connue pour sa résistance à l'autorité patriarcale et au colonialisme. Assia Djebar pense que la femme doit renoncer au rôle de témoin silencieux et ne se satisfait que de la formule de la justice et de la redistribution des rôles dans laquelle la femme a sa part.
Hinweis: Dieser Artikel kann nur an eine deutsche Lieferadresse ausgeliefert werden.
Hinweis: Dieser Artikel kann nur an eine deutsche Lieferadresse ausgeliefert werden.