C'est d'abord un texte de lecture, un pas tremblant devant le Fou d'Elsa de Louis Aragon, le temps passé entre les pages, à écouter ce qui y est dit, à parfois se laisser entrer dans le mot, sans le blesser, sans le prendre, d'abord respectueux. Puis à la chanson, un air, une résonance, un écho, des mots de miel qui arrivent, comme pour un parfum dans un tiroir de bazar caché des enfances. Juste une manière de murmurer un merci.