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La croissance rapide des zones urbaines menace les bassins versants et réduit leur durabilité. Puisque le principe de l'atténuation des problèmes de quantité d'eau est d'augmenter la capacité de stockage disponible dans le bassin versant, cette étude est réalisée pour l'évaluation de la gestion du bassin versant en utilisant l'approche de la capacité de rétention du bassin versant. L'approche principale de cette étude est le bilan hydrique. Elle est utilisée pour vérifier la vraisemblance des données, pour analyser la capacité de rétention du bassin versant et pour identifier la solution aux…mehr

Produktbeschreibung
La croissance rapide des zones urbaines menace les bassins versants et réduit leur durabilité. Puisque le principe de l'atténuation des problèmes de quantité d'eau est d'augmenter la capacité de stockage disponible dans le bassin versant, cette étude est réalisée pour l'évaluation de la gestion du bassin versant en utilisant l'approche de la capacité de rétention du bassin versant. L'approche principale de cette étude est le bilan hydrique. Elle est utilisée pour vérifier la vraisemblance des données, pour analyser la capacité de rétention du bassin versant et pour identifier la solution aux problèmes de l'eau. Le résultat montre que 31% du total est transformé en débit fluvial, 68% en évapotranspiration et seulement 1% en stockage (eaux souterraines). La capacité de rétention du bassin versant de Johor a été calculée comme étant de 3885 mm, dont 14% proviennent du barrage de Linggui, dont la capacité est de 760 MCM. L'histogramme du débit de la rivière Johor montre que les sécheresses sont plus fréquentes que les inondations. Compte tenu du volume des inondations et des sécheresses, la construction d'un barrage/réservoir s'avère être la meilleure option pour atténuer ces problèmes. Après l'installation d'un réservoir d'environ 1462 MCM, le débit de la rivière devient la moyenne mobile. Ce projet peut arrêter les inondations mais réduire la fréquence des sécheresses (%7).
Autorenporträt
Rawshan Othman Ali. Profesor en la Universidad Politécnica de Erbil, Irak, MSC en la Universidad Tecnológica de Malasia y estudiante de doctorado en la Universidad de las Tres Gargantas de China. Investigación en gestión de recursos hídricos.