Elle l'entraîna dans sa chambre à coucher où je les suivis. Il fallait aviser, il fallait trouver quelque cachette où elle pût garder Planchonnet plusieurs jours, plusieurs heures au moins, le temps de tromper et de lasser ceux qui le cherchaient. Il fut convenu que j'observerais les alentours et que, sur le signal que je donnerais, le pauvre ami sortirait par la petite porte du jardin.