Le français est un héritage colonial conçu comme un capital linguistique. Il est impliqué aujourd'hui dans tous les secteurs d'État en tant que langue de communication et d'archivage. Cependant, le niveau de sa maîtrise auprès des étudiants se réduit jour après jour. En s'interrogeant auprès de 300 sondés ; nous avons constaté l'intervention de plusieurs facteurs illustrant le niveau bas des étudiants inscrits au DLLF de Moulay Ismail à Meknès, à titre d'exemple, l'offre pédagogique qui ignore la mobilisation des compétences communicationnelles et stratégiques des étudiants; les contenus et l'architecture des programmes qui ne répondent plus aux attentes des apprenants, le facteur socio-économique, l'absence du suivi et d'accompagnement sont des raisons parmi d'autres.