Sur la scène politique, on parle beaucoup d'éducation et d'écoles, mais on parle peu de l'amélioration de la qualité de vie des responsables d'une bonne éducation, les enseignants. Nous devons partir du principe que le Brésil a besoin de gestionnaires capables de traiter les problèmes psychosomatiques qui affectent les enseignants et qui sont à l'origine de la précarité de l'éducation brésilienne. Le syndrome d'épuisement professionnel se développe chez des centaines d'enseignants, et souvent les victimes elles-mêmes ne le savent pas. L'administration publique doit donc prendre des mesures pour examiner ce problème.