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En Algérie, la culture des légumineuses a un intérêt national, car elle doit permettre de satisfaire les besoins alimentaires, réduire les importations et limiter la dépendance économique vis- à -vis de l'étranger. Malheureusement ces plantes se caractérisent très souvent par des rendements faibles et instables. Cela s'explique, en particulier, par leur sensibilité aux contraintes biotique et abiotiques.Afin d'étudier le comportement de deux légumineuses (Cicer arietinum et Vicia faba), vis-à-vis deux stress abiotique : salin et métallique ; douze paramètres physiologiques et biochimiques ont…mehr

Produktbeschreibung
En Algérie, la culture des légumineuses a un intérêt national, car elle doit permettre de satisfaire les besoins alimentaires, réduire les importations et limiter la dépendance économique vis- à -vis de l'étranger. Malheureusement ces plantes se caractérisent très souvent par des rendements faibles et instables. Cela s'explique, en particulier, par leur sensibilité aux contraintes biotique et abiotiques.Afin d'étudier le comportement de deux légumineuses (Cicer arietinum et Vicia faba), vis-à-vis deux stress abiotique : salin et métallique ; douze paramètres physiologiques et biochimiques ont été analysés pour caractériser la stratégie adaptative adopté par chaque espèce.Les résultats suggèrent que les deux xénobiotiques appliqués, induisent un stress oxydatif chez les deux espèces choisies au cours de leurs croissances. Cependant, l'étude a montré que la réponse à ces xénobiotiques diffère d'une espèce à l'autre et dépend de la concentration NaCl-ZnCl2 appliquée. Ce qu'il est bien illustré par la tolérance de la fève par rapport au pois chiche qui devient sensible aux deux stress à la fois.
Autorenporträt
Docteur en biologie végétale et environnement.