Voici un recueil en vers classiques et vers libres, original, destiné à qui aime la fantaisie, la gaieté, la tendresse. Des émotions, de l'amour, de l'humour, du romantisme, du lyrisme... Une poésie intimiste, voire intime, tout en sensibilité et spontanéité. L'auteure nous emporte dans son univers, fait de douceur et de bonne humeur, avec quelques taches de peines et éclats d'indignations. Du ton vif et allègre à la mélancolie, Anny MARTINE-B. nous fait passer par de multiples sentiments: on sourit beaucoup, on rit souvent, on pleure quelquefois; on s'étonne aussi; et même on apprend car elle a l'art de raconter en vers, avec un fort réalisme, des histoires vraies, histoires personnelles, histoires d'animaux... Toujours avec la même sincérité et le même enthousiasme. Des textes sérieux, des textes légers, des textes drôles, des poèmes de quelques vers et des poèmes de quelques pages, un optimisme joyeux et un esprit caustique. Le style est fluide, l'auteure joue avec le vocabulaire, avec les vers, avec la ponctuation, avec le rythme des poèmes et avec leur mise en forme, faisant quasiment de certains des chansons. L'écriture, imagée, vivante, embarque le lecteur dans un torrent de sensations. De plus le livre est soigneusement illustré (en noir et blanc), les poèmes enrichis de photos familiales et d'oeuvres d'artistes en rapport avec les thèmes. Un beau cadeau pour tout âge, à s'offrir et à offrir ! (Texte rédigé dans une police très nette, douce aux yeux fatigués) LE MOT DE L'AUTEUR: Amoureuses et amoureux de la poésie, vous trouverez, ci-après et plus bas dans la "Description de l'éditeur", un aperçu de ce recueil. Pour vous en faire une idée plus précise (mise en page, illustrations...) je vous invite à visiter mon site - mais, je vais être honnête avec vous, les titres sont parfois trompeurs: Consolation, Espoir, Les gueux... Hum ! Dans la douceur des derniers rayons de l'été, Des amoureux déambulent, main dans la main, Leurs coeurs rêvant ensemble du commun destin Que leur a octroyé la fatale Ananké, Dans la douceur des derniers rayons de l'été. Dans la pétulance de la pompe automnale, Des écureuils font leur dernière provision Avec empressement et détermination, Gouvernés par la loi atavique ancestrale, Dans la pétulance de la pompe automnale. Dans la molle blancheur des neiges de l'hiver Qui pâlissent le ciel, griment les paysages, Enchantent les yeux et rougissent les visages, Les mains des enfants façonnent des univers, Dans la molle blancheur des neiges de l'hiver. Et quand reviennent les promesses du printemps, Vont s'égaillant, sous les frondaisons bienheureuses, Galvanisés par une insouciance joyeuse, Les amoureux, les écureuils et les enfants, >Allez, venez Monsieur, je vous invite à rire, Quittez vos lourds sabots et votre noir gibet, Quittez vos vils haillons, quittez votre humeur grise, Je veux que votre coeur chante et que votre oeil frise, Et que votre âme danse comme un farfadet. Car je vous aime et veux votre bonheur construire. Allez, venez Monsieur, je n'attendais que vous, Voyez votre avenir qui languit d'être beau, Voyez, il est lombric et se rêve oiseau, Il voudrait exister, et irradier pour nous. >Mignons, allons voir si les choses, Depuis que Ronsard et la rose (Qui le matin avait déclose) Espéraient envoûter Cassandre, Ont changé, ou sont tout pareilles. >Goutte d'Eau sur son nuage se promenait. L'arrondi de sa fesse mollement se posait Sur le doux capiton vaporeux qui s'offrait. Elle rêvait. [...] Lorsque reverdira l'herbe tendre au printemps, Lorsque gazouilleront les oiseaux en fiesta
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