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Ce livre propose une nouvelle lecture de l'histoire du cinéma léger en analysant les répercussions esthétiques et pratiques des contraintes techniques sur la mise en scène. S'il est communément entendu que les contingences sont des défis qui contribuent à étendre le registre des expressions possibles, cet ouvrage montre toute l'importance des aspects techniques dans la perception cinématographique. En effet, la technique influence réalisateur et spectateur à de multiples degrés : l'expression sensible de la matière de l'image, la durée possible des plans, les mouvements de caméra, etc. Pour…mehr

Produktbeschreibung
Ce livre propose une nouvelle lecture de l'histoire du cinéma léger en analysant les répercussions esthétiques et pratiques des contraintes techniques sur la mise en scène. S'il est communément entendu que les contingences sont des défis qui contribuent à étendre le registre des expressions possibles, cet ouvrage montre toute l'importance des aspects techniques dans la perception cinématographique. En effet, la technique influence réalisateur et spectateur à de multiples degrés : l'expression sensible de la matière de l'image, la durée possible des plans, les mouvements de caméra, etc. Pour ouvrir, délimiter et approfondir un champ de réflexion sur la genèse des caméras et l'évolution des pratiques, l'auteure approche l'histoire de la prise de vue légère en définissant un corpus d'étude sur un siècle d'appareils de cinéma, depuis le fusil chronophotographique de Étienne-Jules Marey jusqu'à la caméra numérique RED. Des extraits de films accessibles via des codes QR donnent au fil de la lecture une dimension très didactique à ce travail d'analyse théorique appliquée à la pratique qui lie la fabrication des images à l'histoire, à la mise en scène et aux réalités du progrès technique.
Autorenporträt
Cinéaste et cinéphile, Valentina Miraglia réalise en 2010 pour la Cinémathèque Française auprès de Laurent Mannoni un inventaire photographique des caméras légères. Elle approfondit ce travail dans une thèse soutenue en 2012. François Albera en préside le jury auquel participe également Jean-Pierre Beauviala, fondateur d'Aäton.