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Depuis son entrée en vigueur, la Convention sur les armes chimiques (CAC) a remporté des succès essentiels en matière d'universalité, puisque 192 États ont adhéré à la convention à la fin de 2015. Avec la décision de la Syrie d'adhérer à la Convention et de détruire ses armes, les appels aux États non parties à la Convention à suivre le mouvement se sont multipliés. Parmi les quatre États non membres : Israël, l'Égypte, le Soudan du Sud et la Corée du Nord, le régime de Pyongyang, constitue probablement le défi diplomatique le plus difficile à relever. Une myriade de problèmes couvrant…mehr

Produktbeschreibung
Depuis son entrée en vigueur, la Convention sur les armes chimiques (CAC) a remporté des succès essentiels en matière d'universalité, puisque 192 États ont adhéré à la convention à la fin de 2015. Avec la décision de la Syrie d'adhérer à la Convention et de détruire ses armes, les appels aux États non parties à la Convention à suivre le mouvement se sont multipliés. Parmi les quatre États non membres : Israël, l'Égypte, le Soudan du Sud et la Corée du Nord, le régime de Pyongyang, constitue probablement le défi diplomatique le plus difficile à relever. Une myriade de problèmes couvrant plusieurs zones géographiques ont d'une manière ou d'une autre entravé la mise en oeuvre de la Convention et sont donc illustrés par des études de cas. En dépit des défis vifs et parfois inondants auxquels sont confrontés la Convention et sa mise en oeuvre, les réalisations cumulées de la Convention et de son agence de tutelle l'emportent largement sur ces obstacles. Les défis représentent toutefois une plus grande opportunité pour les États membres de la Convention et l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) d'aller de l'avant vers une mise en oeuvre sans faille de la Convention et un monde sans armes chimiques.
Autorenporträt
O autor nasceu na Região Oriental do Gana, tem um B.Sc. (Hons) Biochemistry da Universidade de Cape Coast e completou um mestrado em Saúde Pública da Universidade do Gana. Tem formação com a OPCW e é membro da Equipa Nacional CBRN do Gana. Ajudou a desenvolver a resposta e os planos de acção CBRN do Gana. É um cientista forense.