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Que l'assentiment du peuple à l'impôt fasse partie de la tradition française pourrait étonner aujourd'hui. C'est pourtant ce que révèle l'étude des cahiers des États généraux : la France s'est construite sur l'accord régulièrement renouvelé entre la loi politique des gouvernants et la loi sociale des gouvernés. Cette synarchie menait la nation vers son grand destin, jusqu'à ce que, après de longs tiraillements, l'absolutisme "de droit divin" de Louis XIV finisse par enterrer définitivement la voix d'en bas, semant ainsi, en toute logique, la graine fatale de 1789. Que la France renoue avec sa…mehr

Produktbeschreibung
Que l'assentiment du peuple à l'impôt fasse partie de la tradition française pourrait étonner aujourd'hui. C'est pourtant ce que révèle l'étude des cahiers des États généraux : la France s'est construite sur l'accord régulièrement renouvelé entre la loi politique des gouvernants et la loi sociale des gouvernés. Cette synarchie menait la nation vers son grand destin, jusqu'à ce que, après de longs tiraillements, l'absolutisme "de droit divin" de Louis XIV finisse par enterrer définitivement la voix d'en bas, semant ainsi, en toute logique, la graine fatale de 1789. Que la France renoue avec sa Tradition, celle du véritable christianisme originel, transmise par les Templiers, et elle retrouvera le vrai sens de sa Mission. Un exposé saisissant. (Édition annotée)
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Autorenporträt
Joseph Alexandre Saint-Yves d'Alveydre, 26 mars 1842, Paris - 5 février 1909, Pau. La vie d'Alexandre Saint-Yves, plus tard marquis d'Alveydre, commença par la rébellion. Mais après un séjour à la colonie agricole de Mettray, fondée par Frédéric-Auguste Demetz (1796-1875), il trouva sa voie et se lança dans l'étude. Son parcours éclectique le mena de l'armée à la médecine, de l'économie à la musique et aux langues orientales, entre autres. Son mariage en 1877 lui ayant apporté la sécurité financière, il put se consacrer à l'écriture et fit paraître une vingtaine d'ouvrages sur les sujets les plus variés. Ami de Gérard Encausse (alias Papus),, grand admirateur de Fabre d'Olivet, il n'adhéra cependant à aucun mouvement spiritualiste, trop conscient de la portée universelle de son oeuvre. Ses travaux nourrirent pourtant les grands courants ésotéristes encore longtemps après sa disparition. L'ampleur et la profondeur de son oeuvre sont en cruel contraste avec l'oubli dont il souffre aujourd'hui.