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Au cours des dernières décennies, la Tunisie a connu une transition épidémiologique rapide associée à une occidentalisation des modes de vie, notamment en ce qui concerne les comportements alimentaires. Selon les environnements, les adolescents tunisiens, en recherche de modèles et exposés à divers niveaux de transition vont éprouver un retentissement très variable sur leur santé. C'est ce que nous cherchons à évaluer sur le plan épidémiologique à travers deux études. Une étude transversale auprès d'un échantillon représentatif a permis d'évaluer les comportements et la qualité de vie liés à…mehr

Produktbeschreibung
Au cours des dernières décennies, la Tunisie a connu une transition épidémiologique rapide associée à une occidentalisation des modes de vie, notamment en ce qui concerne les comportements alimentaires. Selon les environnements, les adolescents tunisiens, en recherche de modèles et exposés à divers niveaux de transition vont éprouver un retentissement très variable sur leur santé. C'est ce que nous cherchons à évaluer sur le plan épidémiologique à travers deux études. Une étude transversale auprès d'un échantillon représentatif a permis d'évaluer les comportements et la qualité de vie liés à la santé des jeunes scolarisés vivant dans un gouvernorat très urbanisé et ayant connu une phase de transition épidémiologique rapide. Une autre étude transversale menée auprès d'un échantillon national représentatif des adolescents (15-19ans) s'est attachée à évaluer le mode de vie et la santé de l'adolescent notamment leur état nutritionnel et les facteurs associés d'une part et à estimer sur un sous-échatillon leur apport alimentaire, de façon plus spécifique, en relation avec leur état de santé et nutrition (surpoids et tension artérielle élevée).
Autorenporträt
Hajer Aounallah-Skhiri, spécialiste en médecine préventive, professeur agrégée hospitalo-universitaire à la faculté de médecine de Tunis (Université de Tunis El Manar)- travaille à l''Institut National de Santé Publique-Tunis. Docteur en épidémiologie (Ecole doctorale Pierre Louis de santé publique, Université Paris 6 Pierre & Marie Curie)