Sans éthique, l'être humain, en tant que "la source des valeurs", n'en est pas un. Il en est ainsi des valeurs produites. Le droit et l'impôt, à moins qu'ils ne risquent d'être contreproductifs, doivent également toujours embrasser le côté éthique de l'Homme. Aujourd'hui, sans travail, ce dernier n'en est pas non plus un. Le travail, conçu comme source des valeurs (marchandises et services) qui sont produites au service de l'homme, est l'éthique. Accabler, par conséquent, le travail par tout genre d'impositions, en l'occurrence fiscales, revient à ne pas se donne pour but, sur le plan fiscal, d'indiquer comment les êtres humains doivent se comporter, agir et être, entre eux et envers ce qui les entoure. Cela revient à accabler le travail, à exacerber l'Homme et à réduire et à minimiser les valeurs dans le sens précité, dès lors que l'Homme est, par définition, la source de ces valeurs. Ce livre se donne pour dessin de militer en faveur d'un modèle socio-économique de défiscalisation du travail de jeunes sources de valeurs mobiles, de défiscalisation du capital humain.