Certains pays hésitent à mener des négociations directes par le biais des médias sociaux parce qu'ils ne peuvent pas utiliser ce moyen. D'autre part, certains fonctionnaires peuvent entraver ou limiter les négociations car ce qu'ils font ne leur permet pas d'acquérir une bonne réputation dans les médias. En outre, les médias sociaux contiennent un certain nombre de questions liées aux négociations ; d'autres pays peuvent les enfreindre car ils ont des intérêts et s'efforcent d'entraver le règlement des différends entre les deux pays en litige. L'étude part du principe que l'utilisation des médias sociaux pour le règlement des différends internationaux permet aux hauts dirigeants de mener des négociations avec/sans l'intervention d'un pays tiers et sans obstacles personnels, et sans désaccord sur le moment et le lieu des négociations directes, et leur permet de mener des négociations directes pour éviter les désastres des guerres.