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High Quality Content by WIKIPEDIA articles! La numération grecque de l'Antiquité était double : on pouvait écrire les chiffres et les nombres soit au moyen de signes dits " acrophoniques " parce qu'ils représentaient grosso modo la première lettre de leur nom en grec ancien soit par des lettres, comme la numération hébraïque ou arabe. On connaît également un système de numération scientifique, inspiré des mathématiques babyloniennes. Actuellement, ce sont les chiffres arabes que l'on utilise le plus fréquemment en Grèce. Dès le Ve siècle avant l'ère chrétienne, en Attique, région d'Athènes,…mehr

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Produktbeschreibung
High Quality Content by WIKIPEDIA articles! La numération grecque de l'Antiquité était double : on pouvait écrire les chiffres et les nombres soit au moyen de signes dits " acrophoniques " parce qu'ils représentaient grosso modo la première lettre de leur nom en grec ancien soit par des lettres, comme la numération hébraïque ou arabe. On connaît également un système de numération scientifique, inspiré des mathématiques babyloniennes. Actuellement, ce sont les chiffres arabes que l'on utilise le plus fréquemment en Grèce. Dès le Ve siècle avant l'ère chrétienne, en Attique, région d'Athènes, apparaissent des chiffres dont chaque signe (à l'exception de celui pour 1) n'est autre que la première lettre du nom du nombre, tracé dans l'alphabet local athénien, à savoir : pour 1 (un trait ; seul chiffre qui n'est pas lié au nom du nombre), pour 5, pour 10, pour 100, pour 1 000, pour 10 000. C'est pour cette raison que l'on parle d'une numération acrophonique. La notation des nombres suivait le principe additif que l'on retrouve dans les chiffres romains. Ainsi, 3 s'exprimait par , 9 par , 400 par , etc.