Le changement climatique principalement lié à la méthanogénèse par les archées endosymbiotiques et coliques humaines peut conduire à la croissance d'archées endosymbiotiques et à la néanderthalisation de l'espèce homo sapiens. L'exposition au faible niveau de champs électromagnétiques résultant de l'utilisation généralisée de l'internet, des radio-satellites et des équipements radar entraîne une augmentation de la croissance de l'archéologie endosymbiotique. Les archées coliques et endosymbiotiques génèrent également des viroïdes à ARN qui sont convertis en viroïdes à ADN par la transcriptase inverse du HERV épithélial du côlon et s'intègrent dans le génome du côlon. Les viroïdes à ARN et à ADN et les bactéries intestinales peuvent également s'hybrider avec les séquences génomiques humaines pour l'immunité, la régulation métabolique, les facteurs de croissance, la croissance cellulaire, la mort cellulaire, les neurotransmetteurs et les séquences HERV. L'hybridation des viroïdes d'ARN archéens avec les séquences génomiques humaines du VHS et d'autres séquences peut générer des rétrovirus, le SRAS, le COVID 19 et le MERS. Les archées endosymbiotiques peuvent aider l'espèce humaine à résister au réchauffement climatique en modulant le métabolisme produisant l'oxydation de l'ammoniac et la fixation du dioxyde de carbone.
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