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Les guerres en Irak, en Lybie et en Afghanistan ont redonné, au début du 21ème siècle, une jouvence à la théorie de la guerre juste, si l'on sait que les causa belli évoqués avaient du mal à convaincre, voire suscitaient des soupçons d'instrumentalisation des principes ethiques. La légitimation de la guerre respecte en parole la morale et leurre ceux qui y croient. C'est dans ce sens qu'il nous a paru important de revisiter l'oeuvre de Michael Walzer : Guerres justes et injustes. Le philosophe américain a réactualisé, dans la foulée de Freedom IraK, sa réflexion sur la question de la justice…mehr

Produktbeschreibung
Les guerres en Irak, en Lybie et en Afghanistan ont redonné, au début du 21ème siècle, une jouvence à la théorie de la guerre juste, si l'on sait que les causa belli évoqués avaient du mal à convaincre, voire suscitaient des soupçons d'instrumentalisation des principes ethiques. La légitimation de la guerre respecte en parole la morale et leurre ceux qui y croient. C'est dans ce sens qu'il nous a paru important de revisiter l'oeuvre de Michael Walzer : Guerres justes et injustes. Le philosophe américain a réactualisé, dans la foulée de Freedom IraK, sa réflexion sur la question de la justice dans l'analyse de la guerre. Appliquer à celle-ci le jus ad bellum, le jus in bello et le jus post bellum, c'est tenter de situer les responsabilités - niveaux politique, civil et militaire - dans les injustices commises. Une telle réflexion fait naturellement sens dans un contexte de mise en place de juridictions internationales pour lutter efficacement contre les crimes dans les guerres intra-étatiques, internationales et transfrontalières.
Autorenporträt
Né le 08 Mars 1975 à Mbindo (Diourbel/Sénégal), Gabriel Ndour est titulaire d'une licence, d'une maîtrise, d'un DEA et d'un Certificat d'Aptitude à l'enseignement secondaire en Philosophie à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, d'une licence, d'une maîtrise et d'un DEA en Science Politique à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis.