Pensées : L'heureux cueille, des mères veillent, poésies : En verres et en prozac, parodies : Par (trop) odieuses représentent une trilogie poétique et prosaïque, un tryptique versifié et versatile, à la gloire du verbe, des jeux de mots et autres contraction et décontraction langagières. C'est mon premier livre, un coup d'essai que je voudrais voir se transformer en coup de maitre, mettre du baume au coeur du lecteur lambda, quitte à le faire danser la lambada. Un coup d'épée dans l'eau où se vautre un poisson de mer, d'eau douce ou d'avril. Un coup de main pour ceux qui aiment rire des jeux de mots, calembours et contrepèteries. Un coup de pied dans la fourmilière de la poésie classique et conformiste, avec des vers reluisants, solidaires et définitivement à soi. Des pensées abracadabrantes, anachroniques ou actuelles sur à peu près n'importe quoi et n'importe qui, mais toujours dans la joie et le bon humour, sans méchanceté ou alors pas exprès. Il y a aussi des parodies à toutes les sauces et pour tous les goûts : parodisiaques, parodrôles, parodigmatiques et par (trop) odieuses surtout.