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Actuellement, environ 80 % de la population mondiale utilise des plantes médicinales et plus de 35 % des médicaments utilisés sont dérivés de plantes médicinales. Plus de 1 300 plantes médicinales sont utilisées dans les pays européens, dont 90 % sont collectées à partir de ressources naturelles.L'utilisation traditionnelle des plantes médicinales ne dépend pas principalement des conditions climatiques ou de la richesse de la flore, mais de facteurs socio-économiques. La recherche ethnobotanique joue un rôle clé pour mieux comprendre ces processus et trouver des solutions pratiques. Dans cette…mehr

Produktbeschreibung
Actuellement, environ 80 % de la population mondiale utilise des plantes médicinales et plus de 35 % des médicaments utilisés sont dérivés de plantes médicinales. Plus de 1 300 plantes médicinales sont utilisées dans les pays européens, dont 90 % sont collectées à partir de ressources naturelles.L'utilisation traditionnelle des plantes médicinales ne dépend pas principalement des conditions climatiques ou de la richesse de la flore, mais de facteurs socio-économiques. La recherche ethnobotanique joue un rôle clé pour mieux comprendre ces processus et trouver des solutions pratiques. Dans cette monographie, pour la première fois, une liste de 58 espèces de plantes médicinales distribuées dans la province de Boukhara à l'état sauvage, 176 espèces 261, et des cartes GIS reflétant leur distribution ont été compilées. Les résultats des analyses des formes de vie, des types de surface et des groupes écologiques des espèces médicinales ont été réalisés. Il a été révélé que 167 espèces de plantes médicinales sont utilisées pour les maladies gastro-intestinales, 104 espèces pour les maladies de la peau, 7 pour les maladies mentales, et 11% des plantes médicinales de la région sont utilisées comme nourriture par les représentants de la population locale.
Autorenporträt
Alijon Khaydarovich Eshonkulov schloss 2005 den Masterstudiengang an der Staatlichen Universität Gulistan ab und spezialisierte sich auf Botanik an der Fakultät für Naturwissenschaften. Derzeit arbeitet er als Dozent in der Abteilung für Biochemie des Staatlichen Medizinischen Instituts Buchara.