L'auteur a constaté que depuis le début de la guerre (19 septembre 2002) la Côte d'Ivoire connaît une pénurie de sang et cela a pour cause un déficit communicationnel. Cette étude se propose donc de rechercher des solutions pour pallier cette défaillance. Au plan interne, M. OBLE propose que le CNTS mette en place une véritable politique de communication qui favorise les échanges de connaissances, d'expériences pour faire partager, développer et accélérer les progrès.Il propose également la création d'un journal d'entreprise qui sera un vecteur d'informations vers le personnel. Au plan externe, un travail de communication doit mobiliser les donneurs, particulièrement au niveau scolaire et universitaire, mais aussi au niveau des entreprises et des services publics. Il ne doit pas oublier les organisations confessionnelles et caritatives. L'auteur souhaite que la Côte d'Ivoire organise et célèbre la journée nationale du don de sang, chaque 14 juin et fasse des journées portes ouvertes au CNTS et dans les CRTS. En outre, un accent particulier devra être mis sur l'utilisation des Techniques d'Information et de Communication (TIC).
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