Dans ce roman, Faustin Muliri remet en scène ce que nous conviendrons d'appeler ici la « métaphore du nez » en tant que moyen d'accès au pouvoir quelque part dans la région des Grands-lacs.Tout le monde sait combien la forme du nez fut à la base du génocide rwandais jusqu'à hanter, encore aujourd'hui, certaines personnes pensant que le nez peut être un symbole d'appartenance ethnique, avec toutes les conséquences.Ce roman fustige une clique qui aspirait au pouvoir en recrutant selon une forme de nez.