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L'économie burundaise est dominée par des activités informelles dont les indicateurs de performance sont encourageants. Des estimations récentes montrent que le secteur informel a contribué à environ 77 % du produit intérieur brut (PIB) nominal en 2005. La production1 et l'emploi ont connu une croissance solide au cours des dernières années. Comme l'indiquent les données disponibles, la croissance de la production informelle (chiffre d'affaires brut) s'est élevée en moyenne à 44,1 % par an entre 2000 et 2005 dans les zones urbaines de deux des provinces les plus dynamiques du pays, à savoir…mehr

Produktbeschreibung
L'économie burundaise est dominée par des activités informelles dont les indicateurs de performance sont encourageants. Des estimations récentes montrent que le secteur informel a contribué à environ 77 % du produit intérieur brut (PIB) nominal en 2005. La production1 et l'emploi ont connu une croissance solide au cours des dernières années. Comme l'indiquent les données disponibles, la croissance de la production informelle (chiffre d'affaires brut) s'est élevée en moyenne à 44,1 % par an entre 2000 et 2005 dans les zones urbaines de deux des provinces les plus dynamiques du pays, à savoir Ngozi et Muramvya2. En outre, des augmentations régulières de la production sont observées depuis le taux de croissance maximal de 93,9 obtenu en 2001, qui a été suivi par des taux de croissance de 20,0 %, 32,1 %, 32,0 % et 41,8 % en 2002, 2003, 2004 et 2005, respectivement. Il existe des preuves de résultats importants en matière de création d'emplois, grâce aux performances élevées de la production actuellement maintenues dans ces deux provinces. Le taux de croissance de l'emploi a été en moyenne de 6 % par an entre 2000 et 2005, bien qu'il y ait des variations notables d'une année à l'autre.
Autorenporträt
Aurelien Serge Beko é doutorado em Economia do Desenvolvimento (2004-Centre d'Etudes et de Recherches sur le Développement International, Clermont-Ferrand, França). Até 2017, quando deixou o Grupo do Banco Mundial, avançou para questões macrofiscais, contribuindo para a concepção e implementação do programa de reforma do Burundi na gestão da despesa pública.