Prise en charge holistique des victimes de la violence conjugale - Nyamwasa, Daniel
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L'humanité entière devait unir ses forces pour éradiquer la violence conjugale. L'infidélité, l'alcool et l'irresponsabilité, constituent ses principales raisons. Parmi ses types de violences, les violences physiques sont effroyables et peuvent quelque fois aboutir à des conséquences fatales dont les bourreaux sont des gens qui ont raté leur mission, la protection de leurs partenaires devenus leurs victimes. Les femmes payent souvent un lourd tribut. Nous rapportons trois phénomènes de masse qui sont inextricablement liés, la violence conjugale, le VIH/SIDA et la migration. La migration…mehr

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Produktbeschreibung
L'humanité entière devait unir ses forces pour éradiquer la violence conjugale. L'infidélité, l'alcool et l'irresponsabilité, constituent ses principales raisons. Parmi ses types de violences, les violences physiques sont effroyables et peuvent quelque fois aboutir à des conséquences fatales dont les bourreaux sont des gens qui ont raté leur mission, la protection de leurs partenaires devenus leurs victimes. Les femmes payent souvent un lourd tribut. Nous rapportons trois phénomènes de masse qui sont inextricablement liés, la violence conjugale, le VIH/SIDA et la migration. La migration exacerbe la vulnérabilité des partenaires qui s'aggrave encore lorsqu'elles n'ont ni le droit ni la capacité de refuser un rapport sexuel ou d'exiger l'utilisation d'un préservatif. Les conséquences qui découlent de ses phénomènes touchent les couples, les familles et la société en général. Quand la résolution des conflits de façon non-violente deviendra l'apanage de tout un chacun, peut-être alors, nous allons voir l'élimination de la violence domestique. Quant à l'éradication de cette pandémie il faudra que les mesures préventives soient respectées par toute personne infectée ou non du virus.
Autorenporträt
Né au Rwanda le 1/10/1957, a fait ses études au Burundi. Le 3/11/1990, intégra l¿Armée Patriotique Rwandaise. Il obtint son doctorat en medecine en 1998 à Butare. Reviendra de Dakar en 2006, avec un CES de maladie infectieuse et un DEA en population. Directeur de l¿hôpital de la Police en 2010, puis Directeur de Kigali Forensic Laboratory.